Le Échafaud ouralien. Documentaire l’investigation. Analyse comparative

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Le Échafaud ouralien. Documentaire l’investigation. Analyse comparative
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Je remercie l’époux pour l’aide dans choix de matériau et dans rédaction de manuscrit et, encore, remercie pour compréhension.


© Gromov L. Gromova E., 2021

ISBN 978-5-0053-3616-3

Created with Ridero smart publishing system

La préhistoire

Cent ans en arrière dans la ville d’Ekaterinbourg étaient fusillés onze gens innocents. Beaucoup d’âmes innocentes étaient brûlées dans le feu de la révolution. Mais il un “l’oint de Dieu” seulement. Et le fils son héritier du trône, aussi le seul dans toute la Russie. Ils ont acquis déjà la sainteté, mais jusqu’ici n’est pas connue toute la vérité de leur meurtre.

En vivant à présent dans Ekaterinbourg je veux comprendre la question séculaire sur le meurtre du dernier tsar russe.

L’auteur utilisait dans le travail les documents de l’instruction définitive d’amiral Koltchak, de qui s’occupait le juge d’instruction de par les plus importantes affaires de la cour d’Omsk Nikolaï Alexéévitch Sokolov. Les tomes de l’affaire criminelle étaient copiés et se trouvaient dans de différentes mains, grâce à quoi ils ont pu filtrer jusqu’à nous. Les possesseurs des documents de l’affaire publiaient à l’étranger les livres. Les éditions d’émigrants boitent à cause de l’opinion préconçue tout à fait claire, plus tardives les éditions nationales souffrent à cause de falsifications. Dans la première édition Parisienne 1924 d’année sont particulièrement bonnes les photos de Robert Alfredovitch Vilton et les cartes. Les photos dès téléécran ont permis de recevoir les premières cartes du terrain de l’instruction définitive de Sokolov. Puis dans Internet étaient trouvés les cartes des chemins de fer et les cartes des usines d’Oural XIX de siècle.

Les meilleurs adjoints sont les historiens et les journalistes s’appuyant seulement sur les documents d’archives et les récits impartiaux des témoins.

Ivan Fedorovitch Plotnikov était l’historien le plus compétent de la guerre civile sur l’Oural. Il avait l’accès vers les documents de soixante archives de notre pays. Il est impossible de surestimer les documents d’I.F. Plotnikov.

Au temps de travail avec les documents tout était mis en doute. Si le fait se rencontre indépendamment une fois il n’est pas pris en considération. Seulement alors, quand le même événement est éclairé par deux ou quelques témoins ou on bâtit la succession logiquement exacte des événements l’auteur peut leur croire.

Parfois il faut utiliser les rumeurs comme les compléments ou les preuves indirectes. L’auteur trouve qu’il n’y a pas de feu sans fumée, et ils ne naissent pas à la place vide. Il est nécessaire de voir la différence entre les rumeurs et les falsifications.

En s’immergeant dans l’étude des documents, tu commences bientôt à comprendre les motifs des personnages et par conséquent celles directions-là, où ils peuvent changer les renseignements ou les événements. La lecture des manuscrits et les documents d’archives donne une grande aide dans cela. Dans la ville régionale il est toujours possible de prendre connaissance des documents d’archives.

Il est difficile de lire les manuscrits de tels monstres comme Yourovski. En plus, il écrit les souvenirs par “le pointillé de par l’anneau”. Dans la narration il crée constamment les fenêtres-intervalles pour les sujets abstraits, puis, par-dessus certain temps il revient vers l’énoncé de l’événement. Et ainsi plusieurs fois. Puis il revient à la commencement de récit, et quelque chose dans lui modifie. Il est très difficile de lire, mais est encore plus complexe, comprendre. Aussi, certaines pages peuvent se répéter avec les changements insignifiants.

Et, comment à vous, ce? “… Chez Vous pour ce existe le fondation (la participation au meurtre de Mikhaïl Romanov). Le continuité de présentation recours au sujet de pension personnelle Vous indiqueront dans le Comité Régional du parti…” Les pages lues ne sont pas devenues les poumons pour l’auteur, mais devient clair, pourquoi “les héros” écrivaient de nombreux souvenirs.

Dans le village Koptiaki se sont gardées encore les maisons séculaires, où vivaient les paysans aidant l’instruction définitive de N.A. Sokolov. Le village Koptiaki, le couvent sur De Gania fosse, le De Porcelet ravin – tout se trouve sur la distance accessible. La possibilité de visiter le lieu d’inhumations, par propres yeux tout voir donne le stimulant vers l’enquête de ce crime et la nourriture pour lui-même du d’enquête. Maintenant telle possibilité a surgis et chez vous…

1. Les protagonistes et les exécuteurs

Quand sur l’Oural s’allumait l’incendie de la guerre civile, à Moscou on élaborait le plan d’anéantissement physique de toute la dynastie des Romanov. Les chefs de révolution militaire à Petrograd rêvaient de la gloire des héros de la Grande révolution française. Décapiter et suspendre sur les poteaux, étaient il y a longtemps leurs par les locutions à l’égard de les personnes dynastiques. Mais quand les leaders du prolétariat mondial ont reçu présent pouvoir sur des destins de toutes des hommes tellement à eux des haïssables, jouer franc jeu eux ne se sont pas décidés.

Au siècle XX n’érigeaient pas déjà les échafauds. Et comment tuer le tsarévitch publiquement malade? Ainsi ils pouvaient perdre soi-même le pouvoir. C’est pourquoi on élaborait l’opération secrète. Nous rechercherons ceux qui a organisé et a accompli ce crime…

Le wagon plombé

De journal intime d’Impératrice-de mère de Maria Fedorovna: “… Le 27 octobre (1917.). [Vendredi]. Les rumeurs se sont confirmées. Les bolcheviques ont évincé le gouvernement et l’ont saisi, de sorte que tout le pouvoir maintenant chez eux… Étaient élus 14 bolcheviques, parmi eux: Lénine, Zinovev, Trotski et les autres. Tout ils les juifs sous les faux noms… Les Allemands ont transporté de Lénine à la Russie en wagon plombé. Quelle bassesse, quel spectacle brillant ils ont joué, ces gredins…”

Beaucoup d’années la mère de Nikolaï II ne voulait pas croire à ce que les fils et le petit-fils ont péri sur l’Oural. Elle s’est trouvée dans ce cas les droits: notamment ces gens seront les bourreaux de proches. Ils joueront le spectacle “sanglant”, et les passagers du wagonplombé” seront ses principaux metteurs en scène.


Photo 1. V.I. Oulianov (Lenine). Stockholm-Petrograd 1917.

Leurs listes existent dans quelques variantes.

Les listes du journal de V. Bourtsev “L’affaire Totale” de 14.10.1917 et de 16.10.1917:

1. Oulianov, Vladimir Ilich, est né 22 le [10 avril 1870, Simbirsk. 2. Suliashvili, David Sokratovich, est né le 8 mars 1884, Suram, la province de Tiflis. 3. Oulianova, Nadejda Konstantinovna, est née le 14 février 1869 à Petrograd. 4. Armand, Inessa Fedorovna, est née en 1874 à Paris. 5. Safarov, Gueorgui Ivanovich, est né le 3 novembre 1891 à Petrograd. 6. Mortochkina, Valentina Sergueevna, est née le 28 février 1891. 7. Kharitonov, Moiseï Motkov, est né le 17 février 1887 à Nikolaev. … 11. Ravvitch, Sarra Naoumovna, est née le 1 août 1879 à Vitebsk…

Le parti ouvrier russe social-démocrate (PORSD): … 11. … Voïkov, Petr Grigorevich [Lazarevich]…

Les listes du ouvrage de Nikolaï Starikov “1917 Février. La révolution ou l’opération spéciale?”:

1. Oulianov Vladimir Ilich; 2. Sulishvili David Sokratovich; 3. Oulianova Nadejda Konstantinovna; 4. Armand Inessa Fedorovna; 5. Safarov Gueorgui Ivanovich; 6. Safarova-Martoshkina Valentina Sergueevna; 7… 11. Ravvich Lat Naumovna…

Dans la liste suédoise il y a Karl Sobelson (Radek) qui resta à Stockholm.

De Moiseï Kharitonov, de Karl Radek et Olga Ravitch des souvenirs nous apprenons les gens les plus proches de Ilitch.

M.M. Kharitonov à “l’Exposé sur la révolution de février” est écrit: “… De membres de notre parti sont allés: Lenine, N.K. Kroupski, G.E. Zinovev, Zinaida Lilina, Inessa Armand, G. Safarov, Gr. Oussievich, Olga Ravich, Abramovich, Valia Safarova… et moi. En outre avec nous sont allés les camarades de Radek, … En tous 30 personnes…”

N.K. Kroupski “Le départ à la Russie”: “… Nous partions (Nadejda Kroupski et Vladimir Oulianov – auteur), les Zinovev, les Oussievich, Inessa Armand, les Safarov, Olga Ravich…”

“… Dans les wagons nous nous installons vite sous l’observation attentive de Vladimir Ilich. Le plus actif Radek qui partait avec nous confidentiellement est placé par nous pour un certain temps dans le compartiment du bagage. Auprès de tout le désir – créer l’entourage tranquille, pour ne pas empêcher à V.I. de travailler, de rien ne sortait pas. Le bruit se trouvait considérable. Par principaux coupables étaient c.c. (les camarades – auteur) Safarov, Kharitonov, feu Oussievich, moi et feue Inessa…”1

 

“… Quand nous nous installions dans le wagon, a commencé le remue-ménage avec Vladimir Ilich. Nous avec Nadejda Konstantinovna l’avons placé à la compartiment spécial (contre quoi il exprimait la protestation) pour lui donner la possibilité tranquillement de travailler. Mais nous ne avons pas donné lui de la possibilité de travailler chemin faisant! Dans le compartiment voisin étions Safarov avec lépouse; Olga Ravitch, Inessa Armand et moi. Nous avec Safarov alors ne nous querellions pas au sujet de l’opportunisme, mais quand même dans le wagon était beaucoup de bruit…”2

Si Karl Radek était caché dans le wagon pour les négociations secrètes de la part de Lénine à la Stockholm, Safarov était profondément caché à l’intérieur de l’opération spéciale du meurtre de la famille impériale russe dans Ekaterinbourg.

Il va avec une jeune épouse Valia Safarova (le nom de jeune fille est déformé) dans le compartiment avec la meilleure amie de Vladimir Ilich par Inessa Armand. Dans la lettre Oulianov (Lénine) écrit à Inessa Armand du 19 mars 1917: “… Je tenterai de persuader Valia aller (elle est venue samedi chez nous après que l’année n’était pas!). Mais elle insuffisamment s’intéresse à la révolution…”3 Il s’agit de Valentina l’épouse de Safarov comme de la personne proche pour tous les deux.

Dans toutes les listes et les souvenirs les Safarov se trouvent près de Lénine et Inessa Armand. Dans quoi la raison d’une telle proximité? Pour l’amitié l’âge ne correspond pas, pour la parenté les noms ne sont pas identiques, mais, je pense que le lien entre eux non accidentel.

Cette haute protection fut utile à Safarov en 1921.

Ivan Fedorovitch Plotnikov: “… En rapport avec la participation aux répressions cruelles a provoqué le mécontentement parmi la population… Ont ordonné d’arriver à Moscou… Est protégé par Lénine…”



Photo 2. Safarov-Voïkov.

Encore un passager “du wagon plombé” sous №11 dans la liste des membres PORSD Petr Grigorevich [Lazarevich] Voïkov est devenu le deuxième principal participant de de massacre de la famille du tsar ancien.

De les témoignages du Prince Gueorgui Evguenevich Lvov le Président du Conseil des ministres du gouvernement provisoire: “… Sur Voïkov disaient qu’il est lié par quelques relations personnelles (presque de la parenté) avec Lénine…”

Nous ne pourrons pas éclaircir qui était en effet le parent de Lénine.

Deux personnes de très proches d’Oulianov Vladimir Ilich (Lénine) se expédient sur Oural – Safarov Gueorgi Ivanovich et Voïkov Petr Lazarevich.

Les émigrants

D’abord parlons de Safarov. À cause de la proximité vers leader son nom est plus rare que les autres se rencontre dans les documents publiés.

Le journal “l’Ouvrier d’Oural” de 23 juillet 1918. L’organe du Parti communiste (de bolcheviques) d’Ekaterinbourg et région.

“… La volonté de la révolution était exécutée, bien que auprès de cela et on violait plusieurs parties formelles de la procédure juridictionnelle bourgeoise… ‘Safarov G. …’”

La volonté de la révolution est une volonté de son Leader; Safarov a divulgué le secret. Il se rappellera dans les chambres de torture de CAIP (de commissariat des affaires intérieures de peuple) les normes supprimées par lui de la procédure juridictionnelle, mais sera tard.

Maintenant parlons de Voïkov.

De Pavel Mikhaïlovitch Bykov de membre de Soviet de région d’Oural de par les souvenirs en 1918: “… À la fin de novembre 1917 est introduit dans la composition du Soviet Voïkov…“4Déjà le 14 décembre 1917 Lénine acceptera le Décret sur la nationalisation des banques.

“D’Y.M. Yourovski de Sténogramme des souvenirs sur les événements révolutionnaires à 1907—1918” de 14 janvier 1934 (la ville d’Ekaterinbourg): “… à camarade Voïkov (puisque, alors il étant le commissaire de l’approvisionnement, était simultanément et par commissaire de la banque nationale). En ce qui concerne la nationalisation des banques, puisque les directeurs des banques résistaient, les ont invité à la séance du Comité exécutif, ils étaient arrêtés jusqu’au moment de la transmission par ceux-ci des clés etc.). Et alors, tant de je me rappelle, les banques par nous étaient nationalisées”.5

Le nom Safarov se rencontre presque partout dans le duo avec le nom de Tolmatchev. Les jeunes, les formés, ils pouvaient devenir amis.



Photo 3. Tolmatchev-Safarov.

I.F. Plotnikov: “… Dimanche, le 21 juillet, dans un nouveau théâtre municipal on organisait le meeting, comme était affiché, – ‘de par moment courant’. À titre des tribuns il y avait des communistes influents (G.I. Safarov, N.G. Tolmatchev…)”

Le preuve testimoniale de Petr Illarionovich Lylov: “… À l’époque où les bolcheviques se sauvaient, toutes les valises étaient dévastées et étaient remplis par l’argent. Le président du Soviet Beloborodov, son camarade le Juif Safarov et les membres (du Soviet – auteur) – deux frères les Tolmatchev, et le secrétaire – le lieutenant Moutnykh ont fait cela…

…Et là, dans le local de la banque de Volga et Kama, dans les coffres et dans les valises d’I.L. Tatishchev, de V.A. Dolgoroukov (de Dolgorouki – auteur), d’A.V. Guendrikova et des d’autres personnes d’entourage des prisonniers Romanov, fouillaient “les amateurs des valeurs”, et non quelqu’un, mais les leaders locaux. Voici, dans coffre de Guendrikova, semi-dévasté, s’est trouvé le document adressé à G.I. Safarov, en toute hâte, évidemment, perdu par lui…”

I.F. Plotnikov: “… Gueorgui Gourevich Tolmatchev était le membre de soviet régional, mais son frère plus connu Nikolaï Gourevich (1895—1919) alors était parmi cinq membres de Présidence de soviet…”

Le projet du document découvert par instruction définitive: “le Porteur de celui-ci le camarade Tolmatchev Gueorgui Gourevich le mandataire de la Présidence du Soviet régional de Ouvriers, les députés paysans et de les députés de l’armée accompagner les papiers évacués d’Ekaterinbourg et les sommes d’argent de la Présidence du Soviet régional. La place de l’arrêt est connue au camarade Tolmatchev. Tous les militaires et les autorités civiles et les organisations ferroviaires doivent aider dans tout au camarade Tolmatchev. Le Président du Soviet régional”.

Ensuite parlons de Didkovski.



Photo 4.

Boris Vladimirovitch Didkovski.

Nikolaï Alexeevitch Sokolov: “Boris Vladimirovitch Didkovski était, probablement, l’émigrant et vivait dans la Suisse. Il était proche de Dioupark professeur de la géologie et était auprès de lui par collectionneur…”

Marc Konstantinovitch Kasvinov dans le livre “Vingt trois les marches en bas”, en s’appuyant sur les sources archives, parle de Didkovski: “… En Suisse… écoutait de V.I. Lénine, s’est lié d’amitié avec P.L. Voïkov…”

Didkovski se spécialisait sur le pillage des membres de la famille tsariste et des gens leurs de accompagnant.

Terenti Ivanovitch Tchemodourov le valet de chambre du Souverain ancien a raconté de la perquisition passée dans la maison de l’ingénieur Ipatiev: “… À cette remarque Didkovski a répondu rudement:" Je demande de ne pas oublier que Vous êtes attirés à la responsabilité judiciaire et l’arrestation…” Didkovski pas moins de quatre fois par semaine produisait le contrôle, de visiter toutes les pièces…”

“… Le 6 -7 mai (de par l’ancien style) Didkovski est venu à la maison et a proposé à tous les prisonniers d’annoncer chez qui et combien est eu de l’argent… Dans ce que chez moi ont pris l’argent, Didkovski m’a donné le reçu…”

Le lieutenant I. Tolstooukhov: “… Général I.L. Tatichtchev le 10-ème juillet, selon le papier spécial signé de Beloborodov et Didkovski, devait laisser à 24 heures les limites de oblast Ouralienne. De par les rumeurs reçues le lendemain, chez les surveillants, le général I.L. Tatichtchev et le prince Dolgorouki étaient trouvés derrière le cimetière Ivanovski par les tués. On ne sont pas établis exactement la mort, ou plus exactement le meurtre, de l’un et l’autre. Seulement la quittance, trouvée sur l’un des cadavres en nom de citoyen Dolgorouki de confiscation par Didkovski 79 mille roubles, et la quittance de Tchoutskaev de confiscation de deux revolvers, ont permis de supposer que les tués étaient notamment le général I.L. Tatichtchev et pr. Dolgorouki…”

Le prince Lvov cela aussi confirme.

Le prince Gueorgui Evguenevitch Lvov: “… Le Prince Dolgorouki, étant dans la prison, s’affligeait terriblement au sujet du retrait chez lui par commissaire de notre prison de l’argent tsariste au total 78 ou 87 mille roubles…”

De par le même schéma à Alapaevsk à la veille du meurtre, on pillait tous les grands-ducs et des gens leurs accompagnant. Les quittances sont restés aussi chez tués. De Alapaevsk la trace conduit en Ekaterinbourg à Safarov.

Flegont Kabakov: “… Encore je connais qu’en août on convoquait la commission, qui a décrit les choses appartenant aux princes; les choses meilleurs sont restés chez le Président de la commission d’enquête de Nikolaï Govyrine, mais les pires ont transmis à la Société des Consommateurs pour la vente.

Il y avait des rumeurs, que Safarov étant dans le Comité Régional, dirigeait toute l’affaire…”

Le participant des événements d’Alapaevsk “… Startskev a expliqué que le meurtre des prisonniers Augustes s’est passé sur l’ordre d’Ekaterinbourg, que pour la gestion de lui, Safarov est arrivé spécialement de là…”6

Didkovski faisait les perquisitions, prenait l’argent et donnait avec la signature du quittances. Les frères Tolmatchev bourraient les valises et transportaient l’argent. Par l’organisateur caché était Safarov.

 

Sergeï Nikolaevitch Smirnov le secrétaire de la reine serbe Elena, est prisonnier par CE (par Commission Extraordinaire): “… Quelques commissaires venaient à nous. Je les connais peu. Je me rappelle par de trois. C'était les Juifs absolus de par l’apparence, et de par la réprimande. Ils parlaient anglais racontaient qu’ils étaient les émigrants et vivaient, me semble, en Amérique ou en Angleterre…”

Nous pouvons supposer que ces commissaires étaient Safarov, Voïkov et Didkovski. Safarov avec Voïkov et Didkovski contrôlaient les prisonniers.



Photo 5. Voïkov-Safarov-Didkovski.

Donc, c’était les acteurs de Genève dans le spectacle De Lénine. Ensuite, nous passerons vers les acteurs d’Oural.

Golochtchekine sans doutes – le partisan des mêmes idées, d’eux (de terribles, impitoyables – de Beloborodov, de Tolmatchev, de Safarov et de Didkovski…", – ainsi I.F. Plotnikov l’historien d’eux caractérise.

Golochtchekine, Voïkov et Didkovski ont reçu les certificats des membres de CE.



“… Ekaterinbourg le 6 mai 1918. Le CERTIFICAT. Le porteur de cela le membre du Comité exécutif des Soviets de l’Oural Pert Lazarevitch Voïkov le membre de la commission Extraordinaire parmi trois personnes, qui était organisée par le Soviet Régional pour l’organisation de l’observation et la garde du tsar ancien Romanov et se famille. LE PRÉSIDENT DU SOVIET DES DÉPUTÉS DES OUVRIERS, DES PAYSANS ET DES SOLDATS D’OURAL

La signature Beloborodov…”



Photo 6. Voïkov-Golochtchekine-Didkovski.

L’amitié ouralienne

Notamment Golochtchekine a aidé Lénine dans la lutte pour la place du leader à l’intérieur du parti. Ils déplacent L.B. Kamenev du poste du président CECT (“Le Comité Exécutif Central (du parti communiste – auteur) de la Russie-Totale”) et mettent là-bas l’ami personnel de Golochtchekine, qui était ensemble avec lui en exil de bolchevique-propagandiste de l’Oural d’Y.M. Sverdlov.

…Sverdlov et Golochtchekine “sont liés non seulement par la communion d’idées, mais et l’amitié personnelle, " – écrivait l’épouse de Sverdlov aux “Souvenirs”.

Le 21 novembre 1917 Yakov Mikhaïlovitch Sverdlov devient le président CECT.

Un des meilleurs historiens de la guerre civile sur l’Oural I.F. Plotnikov: “… Malgré les énonciations peu nombreuses en ce qui concerne la nécessité de la cour de Tsar ancien, et l’aspiration visible dans cela, chez Lénine n’était pas d’intention d’organiser la cour en fait, en réalité il a fait tout pour que de celui-ci ne pas admettre. Tout était prédéterminé par ce qu’il confisque l’affaire des Romanov d’entre la compétence de CECT, et conduit de contrôle individuel. Sur les questions de la nécessité de tribunal en hiver, en printemps et en l’été 1918, il répondait par les affirmations de l’inopportunité de tribunal. Famille ancienne Tsariste et ses proches, le sous de différents prétextes étaient simplement exterminés physiquement. De plus, Lénine, comme dans les cas des plusieurs autres, agissait secrètement, tâchait de démontrer non la participation à cette affaire. La Famille Tsariste était tuée selon sa dordre secret, transmis par-dessus Y.M. Sverdlov, de divisant l’opinion de Lénine, mais de agissant moins confidentiellement…”

D’abord parlons de Golochtchekine.

Golochtchekine Philipp Issaevitch.

Le prince Lvov: “… M’interrogeait, comme j’ai dit déjà, la commission…, en la composition des commissaires: de la Justice Poliakov, l’Education Tchoutskaev et le Militaire Golochtchekine… Le commissaire de l’approvisionnement Voïkov… J’avec la persuasion complète affirme, à la composition de cette commission des Poliakov et Tchoutskaev étaient les pions. Ils ne jouaient pas aucun rôle, par le pouvoir, probablement, ne possédaient pas. Les principales personnes à la Commission étaient Golochtchekine et Voïkov. Ainsi d’ailleurs, disaient d’eux et l’administration de prison et les soldats de l’Armée rouge…”

Sergeï Nikolaevitch Smirnov: “… De Golochtchekine je voyais dans la prison de Perm. Je voyais ses deux fois. Pour la première fois il était dans la prison dans la société de quelques autres commissaires, en visitant les cachots, il était et chez nous. Je connais positivement qu’à cet visite on résolvait la question sur celui-là, qui sera fusillé. Golochtchekine était une principale personne dans cette commission.

À une deuxième fois il était chez nous dans de cachot en compagnie de quelque commissaire local, et ce commissaire local faisait l’exposé à Golochtchekine, quels prisonniers et pourquoi sont assis. Évidemment il était par la principale personne…”

La trace de Perm conduit aussi dans Ekaterinbourg à Golochtchekine.

Yourovski: “… À propos dire, tous les anciens alors à Ekaterinbourg les leaders se rapportaient à Philipp hostilement, en le grondant par ‘ressortissant fidèlede Lénine…”7

On peut supposer que Yourovski dit notamment de Safarov et Voïkov, comme de les leaders, arrivés à Ekaterinbourg.

La première tentative de tuer Nikolaï II était entreprise par le Soviet régional d’Oural encore en avril 1918 auprès de déménagement de la partie de la famille tsariste à la Ekaterinbourg. Elle s’est trouvée infructueuse, était présentée le tort à Golochtchekine.

“… Eh bien; que nous raconte le commissaire militaire, comme c’est arrivé que de Nikolaï chez lui de dessous le nez est emmenaient etc… Les plus par brusques et offensifs il y avait des camarades Safarov, Voïkov etc… de les gens, orientés comme les séparatistes locales vers la personne de centre et de l’État, s’est fait sentir avec la force particulière sur cet actif…”8



Photo 7. Sverdlov-Golochtchekine.

En organisant sur l’actif du parti de la lavage de tête pour Golochtchekine au sujet de l’échec de l’opération du meurtre du tsar ancien, Safarov et Voïkov jouent le spectacle suivant. De des émigrants d’hier, Yourovski appelle par “les séparatistes locales”. Golochtchekine exécute parti “d’en passant d’invité entrant” de centre qui insiste sur le sauvetage de Nikolaï et de lui de mise en jugement. Le spectacle se prolonge…

Maintenant parlons de Sverdlov.

Sverdlov Yakov Mikhaïlovitch.

À la réorganisation du parti les révolutionnaires professionnels étaient remplacés graduellement par les extrémistes, pour comprendre cela, nous nous rappellerons la biographie de Lénine.

I.F. Plotnikov: “… avec le début de la révolution 1905—1907… Lénine n’a pas pu se manifester comme le leader reconnu et a émigré de nouveau. À la révolution et après elle ont reçu la plus large diffusion encouragés par lui les attentats terroristes et les expropriations, en disant plus facilement, le banditisme; il était une de principales sources de rentrée de moyens en caisse bolchevique du parti…”

Voici d’où est venu à CECT Sverdlov.

“D’Ermakov P. Z. le curriculum vitae et les souvenirs sur meurtre du tsar ancien”: “… En 1906 Yakov Mikhaïlovitch Sverdlov est venu sur l’Oural, le camarade Andreï / j’avais avec lui le lien, après les entretiens avec lui, chez moi on définissait entièrement ma conception du monde, et je suis entré dans le parti PC/b (de Parti Communiste / de bolcheviques, c’est-à-dire de majorité – auteur) en janvier 1906. Était inséré dans le cercle, par qui dirigeait c. Sverdlov (le camarade Sverdlov – auteur) /Andreï /…En 1906 par c. Sverdlov on ouvrait une école de combattants, dans laquelle j’étais aussi introduit à titre du combattant. Dans elle enseignaient, comme il faut agir par l’arme, dont disposaient. J'à l’usine préparais les boîtes pour les bombes…”9

Selon dossiers d’instruction définitive: “… de Zoudikhine:" je connaissais Ermakov de par Verkh-Issetsk. Il s’occupait il y a longtemps encore des pillages sur grands chemins, à acquérir par une telle voie l’argent. Il était déporté sur le travaux forcés et se trouvait en exil…””

Ermakov Petr Zakharovitch le serrurier de UVI (d’usine Verkh-Issetski – auteur): “… En août 1907 j’étais arrêté à Sverdlovsk de par le soupçon dans meurtre du provocateur de Nikolaï Erine, de par surnom: ‘Estival’… j’ai accepté la participation active à son meurtre…”10

I.F. Plotnikov dit de Ermakov: “… Participait aux meurtres, y compris de gendarme de qui il a décapité. À 1907 est appelé en justice de par l’accusation dans le meurtre, dans un an s’est libéré, car la faute pénale s’est chargé le combattant V. Krougliachov, qui était mis à mort dans la pendaison…”

Voici d’où pouvait apparaître la légende sur le compte de tsar décapité – le vrai coupe-jarret participait à d’inhumations sur la mine De Gania fosse. Voici eux “les aigles” de Sverdlov; voici celui-là qui a aidé à “décoller” à un jeune serrurier Petr Ermakov. Voici où le lien de Moscou avec “De Gania fosse” – Lénine-Sverdlov-Ermakov.

Nous reviendrons sur déclarations du paysan Zoudikhine: "…Par son adjoint était le matelot Stepan Vaganov (de Petr Ermakov – auteur), un petit dur et le vagabond illustre. Avec tous les deux il y avait en relations d’amitié commissaire Golochtchekine…”

Le nom de Vaganov se nous rencontrera encore.

Si Sverdlov s’occupait de la propagande et la création de l’école de combattants, Golochtchekine dirigeait par les commissaires de Verkh-Issetsk. Golochtchekine-Ermakov-Vaganov.

I.F. Plotnikov dit de Ermakov: “… Après Révolution de Février à UVI il crée de commando, s’occupant des confiscations, par l’extorsion; reçues ainsi les moyens étaient transmises au comité bolchevique…”

Des témoignages du paysan du village Koptiaki, Nikolaï Evgrafovitch Bojov qui dit de Ermakov: “… Je voyais souvent son avant la révolution bolchevique, par achetant l’arme au marché… Une fois il demandait de vente de l’arme et chez moi…”

Voici comme Bykov P. se rappelle cela temps: “… Les fabriques ouvrières de Zlokazov, les ouvriers du dépôt de locomotives, les ouvriers de l’usine Verkh-Issetski sont prêts à quitter le travail pour lutte en armes pour les soviets… Pour la recherche des moyens le Soviet inflige aux capitalistes locaux la contribution 10 millions de roubles, mais ont recueilli seulement 2 millions, qui et vont sur le renforcement de l’armée rouge…”11

Les compatriotes de Vaganov ne lui ont pas pardonné ce de contribution, et il n’a pas pu s’enfuir de la ville.

De déclarations du paysan Nikolaï Evgrafovitch Bojov: “… Je vois la photo de Vaganov… Nous l’avons tué…”

Plus difficile découvrir la chaînette vers Yourovski. L’Allemagne et la région de Krasnodar – là il faut chercher la raison de choix notamment de lui sur la rôle du bourreau principal. Probablement, Yourovski encore avant la révolution a fait le meurtre de la famille entière, resté sans l’enquête. Par le plan initial du meurtre des membres de la famille tsariste il y avait la proposition de Yourovski égorger des toutes quand ils dorment dans les lits.

Il connaissait bien et Golochtchekine et Sverdlov et connaissait la langue très bien allemande. Si à titre des participants du meurtre tout de suite se planifiaient les prisonniers de guerre austro-hongrois, la possession par langue allemande était nécessaire à dirigeant de l’opération.



Photo 8.

Yakov Mikhaïlovitch Yourovski. Une fois il a signé par le nom Yourovskikh.

S.N. Smirnov: “… Était évident le rôle d’Yourovski à CE régionale (à la Commission Extraordinaire – auteur). Il était là un des dirigeants. En l’ombre se tenait Loukoïanov…”

1Olga Ravitch “Jours de février 1917 en Suisse” /Vestnik d’historique révolutionnaire “Bagne et exil”. Moscou. 1927.
2K.V. Radek “Dans le wagon plombé”/“Vérité”. 1924. 20 avril.
3V.I. Lénine. Oeuvres complètes, t. 49, p. 405.
4CDOMRS f. 221, in. 1, af. 66
5CDOMRS f. 41, in. 2, af. 28, f. 37
6CDOMRS f. 41, in. 1, af. 149, f. 190
7CDOMRS f. 42, in. 1, af. 28, f. 11
8CDOMRS f. 41, in. 1, af. 151
9CDOMRS f. 221, in. 2, af. 774, f. 1—2.
10CDOMRS f. 221, in. 2, af. 774
11CDOMRS f. 221, in. 1, af. 66.
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